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Surtourisme

Ces pays sont déjà sur la liste noire pour 2026 et vous ne devriez surtout pas les visiter

Anna Duplantis - Il y a 4 heures

En résumé

• Le surtourisme menace des destinations comme l'Albanie et Raja Ampat.
• Alternatives durables : villages authentiques et écotourisme communautaire.
• Privilégier des zones moins touristiques pour préserver culture et environnement.

Le surtourisme, ça vous parle ? Ce phénomène où trop de voyageurs envahissent une destination, mettant à mal ses infrastructures, ses habitants et parfois même son environnement… On vous dit tout sur ces lieux de rêve où l’afflux massif de touristes pourrait bien tourner à la catastrophe. Alors, prêts à découvrir les destinations qui pourraient bientôt se retrouver sur la « liste noire » des lieux à éviter ? C’est parti !

L’Albanie : le secret bien gardé qui risque de perdre son charme

L’Albanie, c’était un peu le petit secret bien gardé d’Europa, avec ses plages sauvages et ses montagnes majestueuses. Mais attention, le secret est en train de fuiter, et les chiffres sont vertigineux : 10 millions de visiteurs en 2023, et ça pourrait atteindre 30 millions d’ici 2030 ! La destination de rêve est sur le point de devenir une vraie machine à touristes. Heureusement, il existe des astuces pour limiter l’impact du surtourisme : au lieu de se concentrer sur les sites populaires, pourquoi ne pas découvrir des villages comme Zogaj, Delvina ou Kukës, loin de la foule et plus authentiques ? En plus, ces lieux moins touristiques vous permettront de goûter à l’Albanie toute l’année, tout en soutenant les petites entreprises locales. Un win-win !

 

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Raja Ampat, Indonésie : la perle des mers qui risque de se noyer

Si vous rêvez de plongée sous-marine et de paysages de carte postale, vous avez probablement entendu parler de Raja Ampat, un archipel paradisiaque en Indonésie. Mais attention, le tourisme de masse menace de détruire cette merveille écologique. Avec l’essor du tourisme terrestre, la faune fragile et les écosystèmes sous-marins sont mis à mal. Le secret pour visiter cette perle sans trop de dégâts ? Opter pour des croisières éco-responsables à faible impact environnemental, comme celles proposées par des voyagistes comme New Scientist, qui permettent de découvrir les lieux sans les abîmer, conseille Time Out. C’est ça, le vrai tourisme durable !

Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne : quand le pèlerinage devient un parcours du combattant

C’est le succès des films comme « The Way » et des hashtags Instagram qui a propulsé Saint-Jacques-de-Compostelle sur le devant de la scène. Le problème ? La ville ne s’attendait pas à une telle invasion. Résultat, les prix explosent, les logements se font rares, et la foule piétine les vieilles pierres de cette cité classée. Pas de panique, il existe des alternatives ! Pourquoi ne pas faire un petit détour par La Corogne, une ville voisine à l’ambiance plus calme, où vous pourrez savourer des fruits de mer frais tout en explorant son architecture médiévale et ses plages ? Bref, un vrai secret bien gardé… encore pour un moment !

Belém, Brésil : la porte d’entrée de l’Amazonie… en surchauffe

Belém, la ville brésilienne située à l’entrée de l’Amazonie, attire de plus en plus de touristes. Mais avec des infrastructures encore insuffisantes pour gérer l’afflux, certains habitants sont déjà poussés à quitter leurs foyers, remplacés par des appartements de location pour touristes. La solution pour soutenir la région sans l’épuiser ? Oublier les circuits traditionnels et opter pour des expériences communautaires comme celles proposées par l’Uakari Floating Lodge ou le Kapawi Ecolodge. Ces projets d’écotourisme permettent de découvrir la faune amazonienne tout en respectant les communautés locales. Une aventure en toute conscience !

 

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Kotor, Monténégro : la vieille ville prise d’assaut par les croisiéristes

Le charme de Kotor, avec ses murs médiévaux et son port pittoresque, attire chaque année de plus en plus de croisiéristes. Mais le revers de la médaille, c’est que ces navires géants déversent des milliers de passagers dans cette petite ville, entraînant embouteillages et augmentation du coût de la vie. Alors, comment profiter de cette destination sans contribuer au surtourisme ? Direction les petites croisières ou les villages voisins comme Tivat et Rose, où vous pourrez découvrir la culture locale dans une ambiance plus calme et authentique. Kotor reste magique, mais mieux vaut l’explorer autrement.

 

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Plages du sud, Sri Lanka : le retour en force du paradis… mais à quel prix ?

Le Sri Lanka, qui a traversé une période difficile, est de retour sur la scène touristique avec 2,1 millions de visiteurs prévus en 2024. Si les plages du sud, si populaires, souffrent de l’afflux massif, il est encore temps de fuir les foules. L’idéal ? Explorer les régions moins touristiques du nord (Jaffna, Mannar) et de l’est (Batticaloa, Trincomalee), où la culture sri-lankaise authentique est préservée. Et pour vous loger, préférez les petites auberges et chambres d’hôtes dans des villages locaux, loin des pièges à touristes. Le Sri Lanka reste un bijou… mais à condition de le respecter !

Voyager, c’est génial. Mais voyageons responsable, en évitant les destinations en surcharge et en privilégiant les endroits où l’on peut contribuer positivement à l’économie locale tout en préservant l’environnement. Alors, à vos valises… mais avec un peu plus de réflexion !

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Anna Duplantis - Il y a 4 heures

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